La Fédération internationale de tennis (TF) n’a pas condamné le message de Novak Djokovic après le premier match du Serbe à Roland-Garros – lié aux tensions au Kosovo – estimant que les “déclarations politiques” ne sont pas proscrites sur les courts.
La Fédération internationale de tennis (TF) n’a pas condamné le message de Novak Djokovic après le premier match du Serbe à Roland-Garros – lié aux tensions au Kosovo – estimant que les “déclarations politiques” ne sont pas proscrites sur les courts.